À retrouver en kiosque en vrai papier, ou en vrai pdf par là, en vrai versement vraiment paypalisé que ça se passe comme une lettre à la poste.
Au sommaire
AUDEN€IA, la bonne affaire
L'école de top managers apprend le libéralisme forcené et moderne, mais vit sous perfusion d'aides publiques. Les locaux, c'est gratis, sans loyer depuis bien plus de dix ans, sans compter les subventions de fonctionnement, les aides pour ci les financement pour ça. Les collectivités bichonnent la pépite : plus de trois millions tous les ans, et dernièrement un pactole de plus de 28 millions. Cadeau ! Une des écoles de bizness en France qui a fait le plus exploser les tarifs d'inscription.
Télénantes ; le télenéant et l'infini. Nouvelle convention, un peu plus de patron, toujours pleine de collectivité, mais au singulier ; Nantes métropole obtient le monopole de l'aide publique. Jusqu'où tout cela s'arrêtera-t-il ?
Duo de barbouzes sur passé discret. À Pornic, un recyclé dans l'humanitaire qui sent la poudre noire et les coups tordus. Au stade de foot, un recyclé de la bande à Bob Denard assure la sécu.
Stade de La Beaujoire : Avant démolition, tout cet argent foutu en l'air. 12 millions d'ici 2019... Et ces leds formidables et rentables en vingt ans : la transition énergétique « à la nantaise » prend l'eau...
Amiante Tour Bretagne : l'inspection du travail joue au cordonnier le plus mal chaussé. Les salariés qui sont ici inspecteurs et contrôleurs du travail commencent à tousser sévère.
Amiante aussi, mais au Palais de justice, pourtant récent.
Eurofins : grandes manœuvres capitales, version bonne action masquant une optimisation fiscale bien sentie, et bien de saison.
Série noire pour les préfets nantais : On en a compté cinq récents et deux plus anciens. On en a peut-être zapé… Nantes porte-poisse ?
En Marche en débandade organisée : c'est pas un délit, c'est une start up qui se délite.
La Baule, plage foire d'empoigne. Le pataquès de la place privatisée , la gestion de Véolia honnie avant d'avoir commencer. Pour une fois qu'une multinationale rame sur le sable.
L'école de top managers apprend le libéralisme forcené et moderne, mais vit sous perfusion d'aides publiques. Les locaux, c'est gratis, sans loyer depuis bien plus de dix ans, sans compter les subventions de fonctionnement, les aides pour ci les financement pour ça. Les collectivités bichonnent la pépite : plus de trois millions tous les ans, et dernièrement un pactole de plus de 28 millions. Cadeau ! Une des écoles de bizness en France qui a fait le plus exploser les tarifs d'inscription.
Télénantes ; le télenéant et l'infini. Nouvelle convention, un peu plus de patron, toujours pleine de collectivité, mais au singulier ; Nantes métropole obtient le monopole de l'aide publique. Jusqu'où tout cela s'arrêtera-t-il ?
Duo de barbouzes sur passé discret. À Pornic, un recyclé dans l'humanitaire qui sent la poudre noire et les coups tordus. Au stade de foot, un recyclé de la bande à Bob Denard assure la sécu.
Stade de La Beaujoire : Avant démolition, tout cet argent foutu en l'air. 12 millions d'ici 2019... Et ces leds formidables et rentables en vingt ans : la transition énergétique « à la nantaise » prend l'eau...
Amiante Tour Bretagne : l'inspection du travail joue au cordonnier le plus mal chaussé. Les salariés qui sont ici inspecteurs et contrôleurs du travail commencent à tousser sévère.
Amiante aussi, mais au Palais de justice, pourtant récent.
Eurofins : grandes manœuvres capitales, version bonne action masquant une optimisation fiscale bien sentie, et bien de saison.
Série noire pour les préfets nantais : On en a compté cinq récents et deux plus anciens. On en a peut-être zapé… Nantes porte-poisse ?
En Marche en débandade organisée : c'est pas un délit, c'est une start up qui se délite.
La Baule, plage foire d'empoigne. Le pataquès de la place privatisée , la gestion de Véolia honnie avant d'avoir commencer. Pour une fois qu'une multinationale rame sur le sable.
Mais aussi
- la croisade contre les croix gommées sur les yaourts pseudo grecs ;
- les boutiquiers du centre ville revendiquent la casse ;
- le drame de Saint-Barth : un hôtel de luxe à capitaux nantais dévasté ;
- la multiplication des dieux présumés, et des soi-disant jésus dans les faits divers ;
- la perte subite du vice roi du carnaval ;
- les SDF kiffent mes changement de logos ;
- une maison pétrole-chantilly faite par un robot, est-ce bien raisonnable ?
- en BD, audience ordinaire au tribunal ;
- en BD aussi : Le vandalisme officiel de JCDecaux arracheur d'abribus ;
- et bien d'autres billevesées...